« Je vous fais partager cet article trouvé sur la toile que je trouve très intéressant. Dommage, pas de nom d'auteur.. »

Nous ne dérangeons pas les défunts en demandant de leurs nouvelles !

S'ils ne peuvent pas ou ne veulent pas venir pour X raison, ils ne viendront pas c'est tout!

Bien-sûr il n'est pas bon (ni pour vous, ni pour eux) de les demander tout le temps,  mais lorsque vous avez eu de leurs nouvelles ou avez reçu une réponse à vos questions, vous êtes soulagé. 

Rien ne vous empêche de leur envoyer de l'Amour, de leur parler, de leur demander leurs avis, mais gardez du recul..  Ne forcez pas les choses, ne soyez pas dans l'attente. Il est mieux pour vous d'avancer, de continuer votre vie sereinement.

Nous avons le droit de pleurer nos défunts.

Bien qu'on entend souvent dire que nous retenons nos défunts en les pleurant, ce n'est pas tout à fait vrai !

Nous pouvons être triste, ressentir le manque de leur corps, ne pas être d'accord avec leur décès ou la façon dont ils sont décédés, mais l'important est d'ACCEPTER. Cela peut paraitre contradictoire au premier abord (je ne suis pas d'accord mais je l'accepte), mais il faut savoir que plus il évolue, plus il monte en vibration et donc s'éloigne un peu plus de nous..

Mais c'est une bonne chose pour lui.. « Lorsque votre enfant grandit, il quitte la maison familiale, la ville même parfois, c'est un peu pareil.. Cela ne veut pas dire qu'il vous abandonne.»

Vous n'avez pas forcément besoin d'un médium reconnu pour communiquer avec votre défunt.

      Pourquoi ne pas essayer une fois par vous-même? 

Apprendre à communiquer avec son coeur, ses pensées, son esprit, plutôt qu'avec des supports matériels comme le OUIJA, l'écriture, le verre au milieu d'une table..

Chaque fois que vous pensez à lui , demandez-lui de vous envoyer un signe de son amour.. et soyez attentif au monde qui vous entoure.

Il peut aussi vous envoyer un signe que vous recevrez en dehors de vos 5 sens : mots en pensée (ou entendus).. ou par le son, l'odeur, l'image, le ressenti.. une chanson qui passe à la radio, un mot sur un panneau publicitaire, une rencontre inattendue..

      Il suffit que ça vous fasse « T I LT ! »

Les prières religieuses n'ont pas plus de force que les prières sorties tout droit de votre coeur avec vos propres mots. 

Ces prières sont très bien pour ceux qui en ressentent le besoin ou qui ne trouvent pas les mots en eux.. Mais en aucun cas elles ne seront "plus protectrices".

Par contre, quand elles sont dites avec le Coeur, emplies d'Amour et de Sincérité, elles valent toutes les prières du monde déjà écrites, par la main de quelqu'un d'autre!

Les "rituels de protections" et "grigris" en tout genre ne sont pas magiques!

Même si cela vous aide à donner de la force à vos croyances, ce n'est pas parce que vous allumerez une bougie blanche, un baton d'encens, ou que vous direz un "je vous salue Marie", qu'aucune entité indésirable ne viendra s'insérer dans vos communications.. 

Vous pouvez mettre toutes les croix ou l'eau bénite que vous voudrez à coté de votre support de communication, cela n'arrêtera personne!  Par contre, cela donne de la force à nos intentions, ça nous aide à nous sentir PLUS FORT, à nous donner confiance..

La confiance en soi, c'est "la force" de l'esprit. C'est cela qui est important!  

Les entités indésirables peuvent nous mentir plusieurs fois.. elles lisent en nous!

On dit parfois que si l'on pose 3 x la même question «l'indésirable» ne pourra pas vous mentir trois fois.. C'EST FAUX ! 

Lorsque vous lui posez une question dont vous savez la réponse et même si vous ne vous en souvenez pas, il l'a lue en vous. Il peut très bien aussi décider de ne pas vous répondre pour que vous pensiez que c'est bien votre défunt. En fait, ils nous mentent autant qu'ils en ont envie! 

Le mieux étant de garder du recul sur ce que vous recevez et d'attendre.. (cela peut être long). Parfois après plusieurs séances, vous recevez une  preuve » de la part du défunt, un détail, une info que vous pouvez vérifier.

Il n'y a pas de temps défini après le décès avant de communiquer avec un défunt..

Si le défunt accepte son nouvel état et s'il est en paix, alors nous pouvons communiquer consciemment avec lui.

Plus il est dans l'Amour, la paix et la lumière, plus il communiquera avec facilité.

S'il monte en vibration il s'éloigne de nous; Il lui faudra alors peut être plus de temps pour "redescendre" afin de communiquer. Il faut savoir que pour communiquer avec eux, il n'y a pas de temps ni d'évolution. 

En règle générale, chaque pensée d'Amour qui leur ai envoyée, ils la reçoivent sans souci.

Les « suicidés » peuvent être heureux aussi là-haut, comme tous les autres défunts.

Cessons de croire que ceux qui ont décidé de mourir n'ont pas le droit au bonheur et à l'Amour

Ils auront un "travail" de plus à faire, celui de ne plus culpabiliser pour ceux qui restent et accepter d'avoir échoué..

Il faut accepter ce geste malheureux envers eux-même.. 

Car pourquoi parmi ces choix ne ferions-nous pas celui de se donner la mort?  QUI peut direr le contraire?.. PERSONNE ! Alors restons ouvert, c'est comme ça que nous nous éveillerons encore plus!..

Tous les cercles figurant sur les photos et vidéos ne sont pas forcément des ORBES.

Il est vrai que parfois nous aimerions tellement avoir un signe, que NOUS SOMMES PRETS A CROIRE EN TOUT ET EN N'IMPORTE QUOI !

C'est malheureusement difficile de faire la différence entre une ORBE qui est une sphère d'énergie et une poussière ou une goutte d'eau.. Certains disent que la poussière ne peut pas tourner de direction à 180° en une fraction de seconde ou faire des traits...

 Je vous laisse en tirer vos propres conclusions...

Il n'y a pas de signes prédéfinis. Vous risquer alors de vous dire : « Mais alors.. TOUT peut être un signe ?» 

Et bien OUI, tout peut être un signe ! Ils peuvent se servir de n'importe quoi, que ce soit de la matière ou non. Cela dépend un peu de chacun..

Comment les reconnaître ?..

Certains se poseront une question et c'est là qu'ils ouvriront un livre au hasard et liront un passage où figure la réponse. D'autres se serviront de la télé ou de la radio, d'autres encore sentiront un souffle de vent leur caresser le visage, parfois se sera une ampoule ou la flamme d'une bougie qui vacille. 

D'autres personnes plus éveillées peuvent se sentir envahies d'un Amour dans tout le corps..

Demandez un geste, un signe et soyez attentif..

Comment reconnait-on un signe?

La réponse peut être une voix, une chanson, une odeur etc..  Quand il est devant vous, vous ne vous posez pas de questions, il n'y a pas de doute!  

Gardez l'esprit ouvert et acceptez... "Ne ratez pas un signe qu'on vous enverrait".

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Qu’est-ce que le deuil ?

Le deuil se définit à la fois comme la période qui suit la perte d’un être cher et le processus intrapsychique qui se met en place pour affronter cet événement.

Il est synonyme de profonde tristesse et de souffrance, le mot latin dolus (qui signifie “douleur”) étant à l’origine du mot “deuil”.

Le travail de deuil, lui, est un processus conscient qui vise à affronter la disparition d’un proche. Le décès ou la perte d’un être aimé s’accompagne donc toujours d’un processus de deuil, qu’il soit volontaire ou non.

Pour surmonter un deuil le plus sereinement possible, il est indispensable de s’affranchir des croyances sur cette période douloureuse. 

Le deuil peut durer des semaines, des mois voire des années..

Lorsqu’un individu est confronté à la mort d’autrui pour la première fois, cela génère irrémédiablement un choc, une multitude d’émotions négatives et beaucoup de questionnements. Bien qu’il soit universel, c’est un événement douloureux auquel personne n’est préparé. 

Avoir du mal à surmonter un deuil est donc quelque chose de tout à fait normal, quelle que soit la manière dont cela se caractérise.

Chaque deuil est unique

Certaines expressions, couramment utilisées dans notre société, sont très révélatrices de notre rapport à la mort et au deuil :

“Faire son deuil” comme s’il s’agissait d’une injonction - “Guérir d’un deuil” comme d’une maladie - “Aller de l’avant après un décès” qui lui, relèverait forcément d’un passé que l’on cherche à fuir..

Ce qu’il est important de comprendre, c’est que le deuil est une expérience singulière qui n’obéit à aucun schéma prédéfini. Ce processus de cicatrisation et de reconstruction psychique est propre à chacun et peut se heurter à de nombreuses difficultés :

• Un ATTACHEMENT très fort à la personne disparue
• un DECES BRUTAL et inattendu
• un différend ou des NON-DITS jamais abordés avec le défunt,
• un quotidien bouleversé après la DISPARITION d’une personne autour de laquelle notre vie s’organisait
• les PERTES SECONDAIRES liées au décès (matérielles ou morales)
• une vision PESSIMISTE de la vie qui s’aggrave avec la disparition de la personne aimée.

Le processus de deuil peut alors stagner et s’étendre dans le temps..

Le chagrin se mue en désespoir et le mal-être s’enracine profondément en soi. On parle alors de “deuil compliqué” voire de “deuil pathologique” lorsque l’intervention d’un professionnel de santé est nécessaire.

Chercher à se reconstruire après la disparition d’un proche est donc essentiel pour prendre soin de sa santé et favoriser son bien-être.

Vaincre les idées reçues sur le deuil

Bon nombre d’entre elles sont à l’origine de culpabilité, d’incompréhension ou encore d’angoisses.

Idée reçue n°1 :

« Il faut se changer les idées pour ne plus y penser.. »

Contrairement à ce que l’on pense, entamer un travail de deuil n’est pas synonyme d’oubli de l’événement douloureux et/ou de la personne perdue. Il s’agit plutôt d’intégrer cette disparition à notre vie, de composer avec elle et d’entretenir des souvenirs bienheureux lorsque l’on repense au défunt.

Il est certes primordial de continuer à vivre (sortir, rencontrer d’autres personnes, faire de nouvelles expériences) sans toutefois adopter une stratégie d’évitement de la douleur et du chagrin.

Surmonter un deuil, c’est réapprendre à vivre en paix avec un ensemble d’éléments qui ravivent au quotidien le souvenir d’un proche disparu :

une musique, une photographie, un anniversaire, une odeur, un vêtement ou encore un moment spécifique dans la journée.

Idée reçue n°2 :

« C’est le temps qui permet d’apaiser la douleur.. »

Il peut se passer des années voire des dizaines d’années sans qu’un travail de deuil soit correctement réalisé. Le temps, lui, continue de défiler quel que soit votre état émotionnel. Compter sur les jours qui passent pour apaiser la douleur n’est pas suffisant et ne comble pas l’absence de la personne disparue.

Idée reçue n°3 :

« Certains deuils sont plus faciles que d’autres.. »

Aurions-nous moins de chagrin s’il s’agit d’une personne plus âgée qui était déjà malade ? Malheureusement, notre peine n’obéit à aucune loi rationnelle..

La réaction de chaque individu est par définition singulière et dépend de nombreux facteurs :

- son HISTOIRE - son VECU avec la personne disparue - sa VISION DE LA VIE ou encore ses RESSOURCES INTERIEURES pour affronter un événement douloureux, voire traumatique.

Et NON, la mort naturelle ou la disparition d’une personne avec laquelle nous étions en conflit ne rendent pas moins difficile un deuil.

Idée reçue n°4 :

« Plus on pleure, plus on est triste.. »

Sourire, rire aux éclats et faire bonne figure.. Voilà une belle manière de dissimuler son désespoir lorsque l’on est en période de deuil. En réalité, ce n’est pas parce que l’on n’exprime pas ses émotions que l’on ne ressent rien.

À l’inverse, refouler ses émotions négatives et chercher à préserver les apparences, peut démultiplier la douleur face au deuil d’un parent, d’un ami ou de tout autre proche.

Il suffit d’observer la réaction de toutes les personnes qui assistent à un enterrement :

.La capacité à extérioriser ses sentiments n’est pas proportionnelle à l’intensité de son chagrin.

• Certaines n’ont vu le défunt qu’une dizaine de fois mais pleurent à chaudes larmes,
• tandis que d’autres gardent un visage impassible, alors qu’ils étaient bien plus proches de la personne disparue. 

Idée reçue n°5 :

Il vaut mieux préserver les enfants par rapport à un deuil.

Affronter la mort d’un proche lorsqu’on est adulte est déjà très difficile, alors qu’en est-il pour un enfant..

N’est-ce pas traumatisant pour eux et ne vaut-il mieux pas arranger la vérité afin de les préserver ?

Pour affronter le plus sereinement possible la disparition d’un être aimé, l’enfant a en fait besoin d’être aidé et accompagné. Rester évasif et lui dire que la personne décédée est “partie loin”.. “s’est endormie”.. ou “se repose dans le ciel”.. peut générer de mauvaises interprétations et des angoisses.

Trouver les bons mots n’est pas aisé mais constitue une démarche indispensable pour aider un enfant à surmonter un deuil.

Idée reçue n°6 :

« Le processus de deuil suit 5 étapes successives.. »

Dans la culture populaire, on distingue généralement plusieurs étapes successives dans le processus de deuil en s’appuyant sur de "prétendus travaux scientifiques". Néanmoins, ces modèles restent purement théoriques et non empiriques.

Par ailleurs, certains d’entre-eux se sont détournés de leur sens premier, tel que "LES 5 PHASES DE DEUIL",  citées par la psychiatre américaine Élisabeth Kübler-Ross dans son ouvrage "On Death and Dying" publié en 1969. 

Surmonter un deuil se déroulerait en 5 étapes : 1) le DENI..  2) la COLERE..   3) le MARCHANDAGE..   4) la DEPRESSION.. et enfin  5) l’ACCEPTATION..

Pourtant, ce modèle décrit en réalité les différents états émotionnels constatés chez des personnes devant faire face à l’annonce d’une "maladie incurable". Ses études de cas ont donné lieu à de mauvaises interprétations et véhiculent alors désormais une "norme infondée" dans le processus de deuil.

Idée reçue n°7 :

« C’est anormal de ne pas avoir fait son deuil un an après.. »

Pourtant, au-delà de cette période, le deuil n’est pas forcément considéré comme pathologique.

Actuellement, il n’existe aucun délai scientifique qui fasse consensus à ce sujet.

Il s’agit plutôt de "critères diagnostiques" qui doivent alerter sur l’état de la personne qui doit gérer un deuil (troubles anxieux ou dépressifs).

Le deuil est une expérience humaine éprouvante qui connaît des fluctuations dans le temps, avec des hauts et des bas. Personne ne peut ou ne doit vous dicter de standards en la matière.

Idée reçue n° 8 :

« Il vaut mieux ne pas en parler.. »

Cela part d’un bon sentiment mais .. "C'est en fait viter le sujet pour ne pas remuer le couteau dans la plaie."

On se retient alors soigneusement d’évoquer le NOM de la personne disparue et on détourne la conversation quand on se rapproche un peu trop du sujet. Cela n’a malheureusement rien de sain car le deuil est édifié en TABOU. Cela revient à fuir l’événement douloureux et à le considérer comme indésirable. 

Accepter la mort d’un proche nécessite un véritable travail de conscientisation de la douleur, d’introspection et de reconstruction morale.

Le plus grand défi d’un travail de deuil.. 

C’est de réussir à se reconstruire en intégrant cette épreuve, tout en conservant une vision positive de la vie. (With love)