Les "catastrophistes" du réchauffement climatique sont déconcertés.. Ils se seraient trompés sur leurs prévisions..
Les vieilles habitudes ont la vie dure.. Malgré l’impressionnante reconstitution récente des glaces, les discussions sur le "point de non retour" ne cessent pas pour autant.
La fonte des glaces aux pôles, reste l’un des supports essentiels de l’ensemble du programme politique.
Dans sa récente série d’agit-prop pour la BBC, Sir David Attenborough a fait un certain nombre de références à des modèles, selon lesquels l’Arctique n’aurait plus de glace de mer d’été, d’ici 2035.
Willis Eschenbach, géologiste australien et scientifique indépendant, révèle dans un court essai sur le site climatique "Watts Up With That ?" :
« Depuis 1990 environ, les gens parlent de la "réduction de la quantité de glace de mer arctique" qui serait due au dioxyde de carbone émis par l’HOMME. Et pourtant, les glaces se reconstituent..»
RETABLISSEMENT SPECTACULAIRE DES GLACIERS DES MERS MONDIALES
Un SCIENTIFIQUE par définition, est quelqu’un de "sceptique".. de nombreux scientifiques cherchent donc des réponses à la nature cyclique de la glace mondiale.
* Comme le rapporte le Daily Sceptic :
" Les mouvements à court terme de la glace sont affectés par des échanges de chaleur atmosphérique souvent incalculables, par les courants océaniques et par de nombreuses autres variations climatiques naturelles."
* Le professeur Ian Plimer, géologue, a récemment fait remarquer dans un essai publié par Quadrant :
« Il y a eu 6 périodes glaciaires majeures. Chacune d’entre-elles a commencé alors qu’il y avait beaucoup plus de CO2 dans l’atmosphère que maintenant.» Il rajoute «Dans une perspective à plus long terme, nous sommes actuellement dans une période glaciaire qui a débuté il y a 34 millions d’années.»
* Deux GEOLOGUES américains ont récemment découvert que plus de la moitié des glaciers et calottes glaciaires de l’ARCTIQUE qui existent aujourd’hui, n’existaient pas (ou étaient plus petits) il y a 3 400 à 10 000 ans.
« Au plus fort de ce réchauffement interglaciaire de l'ARCTIQUE, les températures étaient de plusieurs degrés supérieurs à celles d’aujourd’hui. L’évolution de la taille des glaciers et des calottes glaciaires au cours des derniers siècles, n’est qu’un retour partiel à une période antérieure de chaleur beaucoup plus importante », suggèrent -ils.
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE S'EST ESSOUFLE IL Y A UNE VINGTAINE D'ANNEES.
Les dernières données satellitaires sont presque certaines de prolonger la pause actuelle de la température de 8 ans supplémentaires.
Les tactiques POLITIQUES visent à EFFRAYER des populations entières, le message diffusé est celui d’une «AUTOROUTE VERS L'ENFER» .
Il est basé presque uniquement sur le fait, qu'ils attribuent « le temps extrême » aux activités humaines. Toute une INDUSTRIE CLIMATIQUE est soutenue par des transferts de richesse presque illimités, de personnes très riches qui elles, ont énormément de POUVOIRS.
«En l’absence de preuve irréfutable, on fait taire, on ridiculise, on traite de "complotistes" tous les sceptiques ! Pour ma part, je me soumets à la dure réalité que "LE CLIMAT CHANGE TOUT LE TEMPS.»
Source: https://wattsupwiththat.com/2022/11/27/sea-ice-mysteries/
POURQUOI L'AFFIRMATION QUE LA FONTE DES GLACES DE L'ANTARCTIQUE ET DU GROENDLAND N'EST PAS SERIEUSE?
Au plus fort de cette période glaciaire, de gigantesques calottes glaciaires de plus d’un mile d’épaisseur, couvraient tout l’Arctique, le Canada et les États-Unis, de Seattle à New York.
L’ANTARCTIQUE et le GROENLAND perdent en effet de la masse de glace, ce qui est corroboré par une "modeste élévation annuelle du niveau des mers", c’est le cas depuis la fin du dernier maximum glaciaire il y a entre 20 000 et 19 000 ans.. et des calottes glaciaires plus étendues et plus profondes qu’aujourd’hui.
Elles couvraient également une grande partie de l’Europe du Nord et de l’Asie ainsi que des régions du sud de l’Amérique.
Depuis le dernier maximum glaciaire, au cours des 20 000 dernières années pratiquement "toutes ces calottes glaciaires ont fondu". Il ne restent que l’Antarctique et le Groenland et des milliers de glaciers relativement minuscules, encore en existence.
Il s’agit d’une FONTE NORMALE pendant les PERIODE INTERGLACIAIRES qui durent généralement environ 10 à 30 000 ans.
Au cours des 800 000 dernières années, la Terre a connu le climat chaud que nous avons connu au cours des 11 000 dernières années.
Cette fonte interglaciaire a provoqué une augmentation du niveau des mers.
La déglaciation a duré environ 14 000 ans, commençant il y a environ 20 000 ans. Au cours des 8 000 dernières années, le monde s’est généralement un peu refroidi, avec des pics intermittents de "réchauffement" et de "refroidissement".
À partir de 1450 environ , le monde a connu une baisse significative des températures mondiales, qui a duré environ 400 ans et s’est terminée vers 1850.
DES PALMIER EN ANTARCTIQUE...
Selon des scientifiques, des palmiers ont déjà poussé aux pôles et pourraient réapparaître avec le réchauffement climatique.
"Des palmiers pourraient pousser en Antarctique", assurent des scientifiques. Pendant l’Eocène, (il y a plus de 50 millions d’années), le climat tropical qui régnait sur les pôles a permis à ces arbres d’y pousser.. revue Nature
Avec plus de concentration de CO2 dans l’atmosphère et des températures élevées été comme hiver, l'ÉOCÈNE est une époque clé, pour comprendre ce qui attend la planète dans les prochaines années. 20minutes.fr Audrey Chauvet
LE PETIT ÂGE GLACIAIRE
Depuis sa fin , le monde se réchauffe et les calottes glaciaires massives restantes au Groenland et en Antarctique continuent de subir une fonte fractionnée.
Il faudrait plusieurs milliers d’années de données détaillées sur la masse de glace pour déterminer avec précision les tendances naturelles et ses fluctuations, sur l’Antarctique et le Groenland. Ceci permettrait une comparaison précise depuis l’augmentation de 1,3 pour dix mille du dioxyde de carbone atmosphérique depuis 1850.
C’est précisément la période pendant laquelle l'ACTIVITE HUMAINE a apporté du CO2 à l’atmosphère, depuis 1940.
MANQUE DE DONNEES HISTORIQUES A LONG TERME...
Il y a 30 ans, l’ANTARCTIQUE perdait à peine de la masse de glace et cela reste ainsi...
En 2019 et 2020, les médias ont commencé à affirmer que la calotte glaciaire de l’Antarctique fondait 6 fois plus vite qu’il y a 30 ans.
Les mesures récentes de perte de glace sont comparées à l’ensemble des calottes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique. Elles montrent que la perte est si faible qu’elle est "à peine détectable".
Des scientifiques de l’Université de Columbia et de de Victoria en Colombie-Britannique rapportent :
« Le continent antarctique ne s’est pas réchauffé au cours des 7 dernières décennies, malgré l'augmentation monotone de la concentration atmosphérique de gaz à effet de serre.» https://www.nature.com/articles/s41612-020-00143-w
LES MESURES DU NIVEAU DE LA MER
Les affirmations, selon lesquelles la perte de glace en antarctique menace les inondatons côtières sont hypothétiques. La perte totale de glace chaque année est de 0,0003 % de la masse de glace de l’Antarctique, ce qui l'a rend pratiquement indétectable.
La NASA affirme que c’est une quantité imperceptible par rapport aux vastes quantités de masse de glace de ces deux régions.
Le "battage médiatique" fait à propos du réchaufffement climatique est une réaction excessive, à une situation qui n’est pas statistiquement significative.
Source: EveryThingClimate
Date de dernière mise à jour : 2024-11-09